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Tenir n’est pas un projet de vie

  • Photo du rédacteur: JB Sabourin
    JB Sabourin
  • 5 juin
  • 1 min de lecture

“Je vais tenir encore un peu.”



C’est souvent ce que mes clients me disent au début.


Pas en criant.


En chuchotant.


Presque honteux de ne pas avoir “la force” de tout remettre à plat.



Tenir, c’est devenu une habitude.


Tenir jusqu’aux vacances.


Tenir jusqu’à la fin du trimestre.


Tenir “le temps que ça passe”.



Mais à force de tenir… on s’oublie.


On confond capacité d’endurance et sens de la direction.



Et puis un jour, on ne sait plus pourquoi on se lève.


On fait les choses par inertie, pas par envie.


On devient spectateur de sa propre vie pro.


Et on appelle ça la stabilité.



Ce n’est pas toujours spectaculaire.


Mais c’est profond.


Et ça use.


Silencieusement.



Alors je pose une question simple :


Et si ce “tenir” n’était plus un signe de courage… mais un signal d’alerte ?


Et si le vrai courage, c’était de s’arrêter pour regarder où on en est vraiment ?



Ce post vous parle ? Vous traversez une période de questionnement professionnel ?


Et si on en parlait ? 👉 https://bit.ly/3Zg0jv6



🙋‍♀️ Pour celles et ceux qui ne me connaissent pas encore,


𝐣𝐞 𝐬𝐮𝐢𝐬 𝐏𝐚𝐭𝐫𝐢𝐜𝐢𝐚 𝐂𝐚𝐩𝐥𝐢𝐞𝐫.


𝐂𝐨𝐧𝐬𝐮𝐥𝐭𝐚𝐧𝐭𝐞 𝐞𝐧 𝐞́𝐯𝐨𝐥𝐮𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐩𝐫𝐨𝐟𝐞𝐬𝐬𝐢𝐨𝐧𝐧𝐞𝐥𝐥𝐞, j’accompagne les particuliers et les entreprises dans les phases de transition, de changement ou de reconversion.


Mon approche est humaine, structurée et tournée vers l’action.

 
 
 

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