𝐂𝐞 𝐪𝐮𝐞 𝐣𝐞 𝐯𝐨𝐢𝐬 𝐬𝐨𝐮𝐯𝐞𝐧𝐭 𝐥𝐞 𝐥𝐮𝐧𝐝𝐢 𝐦𝐚𝐭𝐢𝐧 ?
- JB Sabourin

- 19 mai
- 1 min de lecture
Des visages fermés, des gestes mécaniques, des “ça va ?” sans conviction.
Le corps est là… mais l’esprit déjà ailleurs.
Un sentiment diffus d’être à côté de sa vie. De sa place.
Et ça ne date pas d’hier.
On minimise, on tient, on “fait avec”.
À force de lundis sans élan, c’est toute une vie professionnelle qui perd son sens.
Et pourtant…
J’en accompagne chaque jour qui reprennent goût à leur lundi.
Parce qu’ils ont osé se poser les bonnes questions.
Parce qu’ils ont réinventé leur rapport au travail, parfois sans tout casser.
Parce qu’ils ont retrouvé le fil de ce qui compte pour eux.
Ce n’est ni magique, ni instantané.
Mais c’est possible. Et c’est profondément libérateur.
Demain, je publierai un petit sondage.
Rien de scientifique. Juste pour voir où on en est. Ensemble.




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