👉 “𝐈𝐥 𝐟𝐚𝐮𝐭 𝐪𝐮𝐞 𝐣𝐞 𝐭𝐢𝐞𝐧𝐧𝐞 𝐣𝐮𝐬𝐪𝐮’𝐚𝐮𝐱 𝐯𝐚𝐜𝐚𝐧𝐜𝐞𝐬.”

C’est la phrase que j’ai entendue 3 fois cette semaine.

“Il faut que je tienne jusqu’aux vacances.”

“Je suis à bout... mais j’ai pas le choix.”

“Je suis trop fatigué pour réfléchir maintenant.”

Cette phrase, elle revient chaque mois de mai, comme un signal d’alarme qui n’a pas le droit de sonner trop fort.

Elle dit : “Je suis à bout, mais je vais continuer.”

Elle dit : “Je souffre, mais je n’ai pas encore trouvé comment faire autrement.”

Et souvent, elle est suivie d’un rire nerveux.

Un réflexe pour alléger. Pour ne pas craquer.

Je le connais bien, ce rire. J’ai longtemps eu le même.

Dans mes coachings cette semaine, j’ai entendu des mots puissants :

🔹 “J’ai l’impression de survivre, pas de vivre.”

🔹 “Je ne sais plus ce que je veux... juste ce que je ne veux plus.”

🔹 “Je suis devenu(e) une version de moi que je ne reconnais plus.”

Et à chaque fois, je me dis la même chose :

𝐋𝐞 𝐩𝐫𝐨𝐛𝐥𝐞̀𝐦𝐞 𝐧’𝐞𝐬𝐭 𝐩𝐚𝐬 𝐪𝐮’𝐢𝐥𝐬 𝐬𝐨𝐢𝐞𝐧𝐭 𝐩𝐚𝐮𝐦𝐞́𝐬.

𝐋𝐞 𝐩𝐫𝐨𝐛𝐥𝐞̀𝐦𝐞, 𝐜’𝐞𝐬𝐭 𝐪𝐮’𝐢𝐥𝐬 𝐩𝐞𝐧𝐬𝐞𝐧𝐭 𝐪𝐮’𝐢𝐥𝐬 𝐝𝐨𝐢𝐯𝐞𝐧𝐭 𝐥𝐞 𝐫𝐞𝐬𝐭𝐞𝐫.

Ce que je veux te dire, ce dimanche soir, c’est simple :

Tu n’as pas besoin de savoir exactement ce que tu veux pour commencer à chercher.

Tu as juste besoin de t’autoriser à poser les bonnes questions.

Et parfois, c’est tout ce qu’il faut pour rallumer quelque chose.

Je ne te promets pas de tout résoudre en un clic.

Mais je peux t’aider à y voir plus clair, sans pression.

Parce que tu n’es pas seul(e). Et surtout, tu n’es pas bloqué(e).

💬 Si ça te parle, je t’invite à m’écrire.

On échange 30 minutes, tranquillement.

Sans engagement. Juste pour t’écouter.