Mais… est-ce que j’ai vraiment le droit de faire ça ?

C’était en plein échange.

On parlait d’envies, de rêves un peu enfouis.

D’un projet qu’il repousse depuis des mois.

Et soudain, cette question a surgi.

Pas posée à voix haute.

Mais dans les yeux, clairement :

“Est-ce que j’ai vraiment le droit de faire ça ?”

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Et c’est là que j’ai vu ce qu’on voit souvent dans mes accompagnements :

ce n’est pas le plan d’action qui manque.

C’est la permission.

La permission de changer.

La permission de vouloir mieux.

La permission de ne pas suivre le chemin tout tracé.

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Alors j’ai simplement répondu :

“Tu ne dois pas demander le droit.

Tu peux te l’accorder.”

Et là, quelque chose s’est relâché.

Presque imperceptible… mais décisif.

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🎯 Ce que je vois chaque jour :

le vrai point de départ, ce n’est pas le plan.

C’est le feu vert intérieur.

Et parfois, une seule question suffit à tout rallumer.