Parfois, on tient coûte que coûte. On continue malgré les nuits sans sommeil, l’angoisse qui monte, la pression qui écrase.
- JB Sabourin

- 3 oct.
- 1 min de lecture
Hier, j’ai encore entendu ce message : « Je ne lâche pas parce que je n’ai pas le choix ».
Mais savons-nous vraiment ce que “tenir” peut coûter ?
• 44 % des salariés sont en détresse psychologique.
• 30 % environ sont en burn-out “ordinaire”, 10 % en burn-out sévère.
• L’absentéisme monte, les arrêts sont plus longs, les maladies liées au stress et à l’épuisement prennent de plus en plus de place.
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Ce que je veux dire : ce n’est pas de la faiblesse d’admettre qu’on ne peut pas “tenir”.
C’est du courage de se regarder en face.
On peut choisir de demander de l’aide, de poser ses limites, de se reconstruire.
On peut remplacer la survie par la présence, la fatigue par l’alignement, la dévalorisation par la fierté.
Parce qu’une vie professionnelle où vous tenez juste… finit toujours par vous user.
Et ce prix-là, il n’est jamais payé seulement par vous.
👉 Si vous sentez que vous avez déjà trop tiré sur la corde, c’est peut-être le moment de couper, de respirer, d’agir autrement.




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