À 15 ans, on nous demande de choisir un métier… alors qu’on ne sait même pas encore qui on est.
- JB Sabourin

- 28 août
- 1 min de lecture
Quand j’accompagne mes bénéficiaires, une étape revient toujours : retracer leur parcours depuis l’enfance.
Et là, un souvenir marque presque tout le monde : le moment de l’orientation scolaire.
À cet âge, nos décisions reposent rarement sur nos envies profondes.
Ce sont souvent les parents, les profs ou la société qui dictent :
« Choisis une voie sûre. »
« Vise un métier qui rapporte. »
« Tu auras le temps de voir plus tard. »
Le problème ?
Des années plus tard, à l’âge adulte, on se rend compte que ce choix ne nous appartient pas vraiment.
On a suivi une trajectoire tracée par d’autres.
On a coché des cases… sans se demander si elles nous correspondaient.
Mais il n’est jamais trop tard pour réécrire le scénario.
En revisitant son histoire, en se reconnectant à ses talents oubliés, en osant s’écouter enfin… on peut reprendre la main.
Ce que je constate :
1. L’orientation n’est pas un carcan, c’est un point de départ.
2. La vraie liberté, c’est de se donner la permission de changer.
3. On devient acteur de sa vie quand on ose sortir du « choix par défaut ».
Et toi, dis-moi :
• As-tu suivi la voie que tu avais choisie à 15 ans ?
• Ou bien as-tu dû bifurquer en cours de route pour trouver ta juste place ?




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